Behind the Scenes Interview with Mr. Friedman

Focus On Mr. Friedman/Entretien Avec M. Friedman

By Thomas Braun

 

In March 2016, Latin School French Teacher, Mr. Mark Friedman kindly gave the Worldy Roman an interview.  Please read below to find out how many languages Mr. Friedman can speak, what he has in common with our new Upper School head and where he taught in Paris.

Mr. Friedman, merci beaucoup pour votre temps. J’aimerais commencer au début, ou est-ce que vous êtes né?

Je suis né à Milwaukee, dans le Wisconsin. Il y a longtemps….

Quand vous-avez développé votre intérêt pour la langue française ?

C’est un peux curieux, quand j’étais en sixième (6th grade), ma maitresse connaissait le français et elle nous enseignait un peu de français deux ou trois fois par semaine. Elle nous apprenait certains mots et des petites expressions. J’adorais le français et puis ça a commencé plus sérieusement en septième année et j’ai continué mes études de français dans au lycée le « High School.»

Est-ce que vous avez étudié d’autres langues ?

L’hébreu était la première langue étrangère que j’ai appris.  J’ai commence très jeune : 7 ou  8 ans. J’aimais beaucoup l’hébreu et la possibilité de lire des passages de la Torah dans la langue originale me fascinait. Le seul problème c’est que je ne le pratique pas beaucoup. Je comprends toujours un peu, mais j’ai beaucoup oublié.

J’a étudié plusieurs langues, mais mon niveau d’expertise beaucoup selon la langue. Il y a l’anglais, bien sur, très peu d’hébreu, le français ca va bien.  L’Italien moins bien que le français, l’Allemand et l’Espagnol aussi un peu. J’ai aussi étudié le latin et le grecque à l’université.  Mais, il y a beaucoup de langues importantes, comme le chinois que j’aimerais connaître.

Quand est-ce que vous avez décidé que vous voulez être prof de français ?

Ca aussi c’est un peu curieux.  Quand j’avais 16 ans, quand j’étais en Français 3, j’ai eu l’idée d’enseigner.  J’avais des très bons profs de français qui mon inspiré.   Ce qui est le plus  étrange est que je l’ai fait.  Très souvent on a des inspirations ou des objectifs, mais on ne suit pas le chemin qui mène au but.

Qu-est-ce que vous avez fait avant d’enseigner à Latin School ?

Juste avant venir à Latin, j’étais professeur à Morgan Park Academy à Chicago pendant quatre ans. Mais après les années d’université à Carlton College, j’ai gagné deux bourses qui m’ont permis de passer deux ans en Europe.  D’abord j’ai gagné une bourse Fulbright et j’ai enseigné au Lycée Henri IV à Paris, dans le Quartier Latin.  Après, j’ai gagné une autre bourse, un Watson Fellowship.  C’était pour suivre un projet qui n’était pas nécessairement lié à mes études pour un an. C’était beaucoup d’argent pour aller passer une année n’importe où dans le monde pour étudier ou faire un projet.  Moi, mon projet, c’était d’étudier le rôle des langues dans les l’opéras. Je suis allé en Allemagne, surtout a Munich, puis trois mois en Autriche, à Vienne et finalement en Italie.  Quand j’étais la, j’ai fais la connaissance d’un maestro de l’opéra de Venise. J’ai chanté pour lui et il a accepté de me donner des leçons de chant.  Donc je suis resté à Venise pour le reste de l’année pour profiter de cette occasion pour apprendre à mieux chanter.  C’était une année merveilleuse.

Quand est-ce vous avait commencé à être intéressé aux opéras et a chanter ?

Oh, quand j’étais très jeune, j’avais un ami qui s’intéressait à l’opéra dès l’âge de 7 ans.  A cette époque-là, je n’aimais pas les opéras, plutôt les symphonies, mais j’avais un copain qui adorait l’opéra et on écoutait chez lui.   A l’âge de 17 ans j’ai commencé à aimer les opéras comme Aida et La Bohème et j’ai acheté les disques. Je suis tombe amoureux des opéras et surtout de la langue Italienne qui était merveilleuse avec la musique, ça me parlait, les émotions et la beauté de la langue avec la musique.

Au cours de vos années passés à Latin, comment est-ce que le département de langue a changé ?

 Quand je suis arrivé il y a 34 ans, on était en train de faire une transition.  On faisait beaucoup de grammaire mais même à ce moment la mon département était très avancé et on voulait se concentrer sur la langue parlée.

Nous avons vraiment épousé l’idée de « proficiency » dans l’enseignement maintenant. Par exemple, nous avons décidé de laissez tomber les petites notes d’interrogations de grammaire ou de vocabulaire et ils ne vont pas compter.  Nous allons changer les noms des cours pour montrer le niveau de compétence ou « proficiency » des étudiants dans la classe.

C’est une expérience dans le sens scientifique. Nous ne savons pas comment ca va marcher, mais nous avons confiance.  Nous sommes enthousiastes pour le changement pour les étudiants.

Qu’est-ce que vous aimez faire dans votre temps libre ?

Cela dépend de la saison. Quand il fait chaud, j’aime travailler dans mon jardin.  J’aime lire et écouter de la musique et faire de la musique.   Pour moi la musique est vraiment une passion, avec les langues.  J’aime voyager quand je peux.

J’ai aussi une passion pour les animaux, et surtout j’ai toujours aimé les reptiles.  J’ai beaucoup d’animaux domestiques, même un gecko qui a seize ans! Je passe beaucoup de temps à m’occuper de mes animaux. Ils en valent bien la peine.

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