Interview With Ms. Gonzalez, New Head of the Language Department

¡Bienvenida Señora Gonzalez!

En Julio, Señora Gonzalez llegó a Latín para tomar cargo del Departamento de Lenguas. Esto no es la primera vez que Senora Gonzalez está en Latin. Descubre que ella estuvo aquí antes, cómo se interesó en diferentes idiomas del mundo y algunos de sus otros intereses como la lectura de la entrevista exclusiva del Worldly Roman.

Señora González creció en el norte de Chicago con su familia donde hablaba español todo el tiempo.  Además de saber hablar el español e el inglés, ella decidió estudiar francés en la escuela secundaria. Señora Gonzalez inicialmente fue a la universidad pensando que ella estaba interesada en la política internacional, pero rápidamente se dio cuenta deque le gustaba más estudiar idiomas. En la universidad, además del francés y del español recogió el italiano.

El primer trabajo de Señora Gonzalez fue profesora de español en nuestra propia escuela Latín.  Ella enseñó español para todos los niveles durante aproximadamente nueve años antes de mudarse a San Francisco donde enseñó en Town School for Boys por siete años. Ella regresó este año para tomar control del departamento de lenguas en Latín.

 

Señora Gonzalez gestiona el Departamento de Lenguas a través de las tres divisiones en Latín. Señora Gonzalez me dijo que es emocionante y divertido trabajar en Latin donde los profesores de lengua son fenomenales y tan apasionados de los idiomas que enseñan a los estudiantes. Señora Gonzalez dijo que el Departamento de Lenguas es muy fuerte y ella no prevéne ningún cambio inmediato. Por ahora, ella esta conociendo el Departamento de Lenguas otra vez. Señora Gonzalez acepta que es difícil dirigir varios idiomas diferentes, pero ella piensa que esta parte del trabajo y es más divertido que duro. Dijo que le gusta aprender sobre los diferentes idiomas que se enseñan. Por ejemplo, con el latín el énfasis está en la lectura y que juega muy diferente en las clases de enseñanza de las lenguas romanticas. Ella también está mirando adelante para aprender más sobre cómo se enseña el chino.

 

Si Señora Gonzalez pudiera hablar otro idioma, le encantaría aprender el árabe. Ella dice que la escritura árabe es impresionante y hermosa. Además, la cultura es tremendamente interesante y España fue influenciada por los moros.

 

En su tiempo libre, se puede encontrar a Señora Gonzalez buscando nuevos restaurantes en la ciudad, caminando a sus perros y leyendo un buen libro. (¿Qué tipo de perros, restaurante favorito, libro favorito??)

 

Señora Gonzalez dice que muchos profesores en el Departamento tratan de conectar los estudiantes a eventos de la comunidad de Chicago.  Por ejemplo, los profesores de francés recientemente llevaron a los estudiantes de francés a “un slam” de poesía en francés. Hay una serie de recursos donde se puede aprender lo que está sucediendo en Chicago que es relevante para los idiomas que estamos estudiando. Por ejemplo, el periódico de ¡Hoy! (que también tiene un sitio web) publica los eventos latinos en Chicago.

 

Bienvenida Señora Gonzalez, estamos muy alegre que usted regreso a Latín.

 

Behind the Scenes Interview with Mr. Friedman

Focus On Mr. Friedman/Entretien Avec M. Friedman

By Thomas Braun

 

In March 2016, Latin School French Teacher, Mr. Mark Friedman kindly gave the Worldy Roman an interview.  Please read below to find out how many languages Mr. Friedman can speak, what he has in common with our new Upper School head and where he taught in Paris.

Mr. Friedman, merci beaucoup pour votre temps. J’aimerais commencer au début, ou est-ce que vous êtes né?

Je suis né à Milwaukee, dans le Wisconsin. Il y a longtemps….

Quand vous-avez développé votre intérêt pour la langue française ?

C’est un peux curieux, quand j’étais en sixième (6th grade), ma maitresse connaissait le français et elle nous enseignait un peu de français deux ou trois fois par semaine. Elle nous apprenait certains mots et des petites expressions. J’adorais le français et puis ça a commencé plus sérieusement en septième année et j’ai continué mes études de français dans au lycée le « High School.»

Est-ce que vous avez étudié d’autres langues ?

L’hébreu était la première langue étrangère que j’ai appris.  J’ai commence très jeune : 7 ou  8 ans. J’aimais beaucoup l’hébreu et la possibilité de lire des passages de la Torah dans la langue originale me fascinait. Le seul problème c’est que je ne le pratique pas beaucoup. Je comprends toujours un peu, mais j’ai beaucoup oublié.

J’a étudié plusieurs langues, mais mon niveau d’expertise beaucoup selon la langue. Il y a l’anglais, bien sur, très peu d’hébreu, le français ca va bien.  L’Italien moins bien que le français, l’Allemand et l’Espagnol aussi un peu. J’ai aussi étudié le latin et le grecque à l’université.  Mais, il y a beaucoup de langues importantes, comme le chinois que j’aimerais connaître.

Quand est-ce que vous avez décidé que vous voulez être prof de français ?

Ca aussi c’est un peu curieux.  Quand j’avais 16 ans, quand j’étais en Français 3, j’ai eu l’idée d’enseigner.  J’avais des très bons profs de français qui mon inspiré.   Ce qui est le plus  étrange est que je l’ai fait.  Très souvent on a des inspirations ou des objectifs, mais on ne suit pas le chemin qui mène au but.

Qu-est-ce que vous avez fait avant d’enseigner à Latin School ?

Juste avant venir à Latin, j’étais professeur à Morgan Park Academy à Chicago pendant quatre ans. Mais après les années d’université à Carlton College, j’ai gagné deux bourses qui m’ont permis de passer deux ans en Europe.  D’abord j’ai gagné une bourse Fulbright et j’ai enseigné au Lycée Henri IV à Paris, dans le Quartier Latin.  Après, j’ai gagné une autre bourse, un Watson Fellowship.  C’était pour suivre un projet qui n’était pas nécessairement lié à mes études pour un an. C’était beaucoup d’argent pour aller passer une année n’importe où dans le monde pour étudier ou faire un projet.  Moi, mon projet, c’était d’étudier le rôle des langues dans les l’opéras. Je suis allé en Allemagne, surtout a Munich, puis trois mois en Autriche, à Vienne et finalement en Italie.  Quand j’étais la, j’ai fais la connaissance d’un maestro de l’opéra de Venise. J’ai chanté pour lui et il a accepté de me donner des leçons de chant.  Donc je suis resté à Venise pour le reste de l’année pour profiter de cette occasion pour apprendre à mieux chanter.  C’était une année merveilleuse.

Quand est-ce vous avait commencé à être intéressé aux opéras et a chanter ?

Oh, quand j’étais très jeune, j’avais un ami qui s’intéressait à l’opéra dès l’âge de 7 ans.  A cette époque-là, je n’aimais pas les opéras, plutôt les symphonies, mais j’avais un copain qui adorait l’opéra et on écoutait chez lui.   A l’âge de 17 ans j’ai commencé à aimer les opéras comme Aida et La Bohème et j’ai acheté les disques. Je suis tombe amoureux des opéras et surtout de la langue Italienne qui était merveilleuse avec la musique, ça me parlait, les émotions et la beauté de la langue avec la musique.

Au cours de vos années passés à Latin, comment est-ce que le département de langue a changé ?

 Quand je suis arrivé il y a 34 ans, on était en train de faire une transition.  On faisait beaucoup de grammaire mais même à ce moment la mon département était très avancé et on voulait se concentrer sur la langue parlée.

Nous avons vraiment épousé l’idée de « proficiency » dans l’enseignement maintenant. Par exemple, nous avons décidé de laissez tomber les petites notes d’interrogations de grammaire ou de vocabulaire et ils ne vont pas compter.  Nous allons changer les noms des cours pour montrer le niveau de compétence ou « proficiency » des étudiants dans la classe.

C’est une expérience dans le sens scientifique. Nous ne savons pas comment ca va marcher, mais nous avons confiance.  Nous sommes enthousiastes pour le changement pour les étudiants.

Qu’est-ce que vous aimez faire dans votre temps libre ?

Cela dépend de la saison. Quand il fait chaud, j’aime travailler dans mon jardin.  J’aime lire et écouter de la musique et faire de la musique.   Pour moi la musique est vraiment une passion, avec les langues.  J’aime voyager quand je peux.

J’ai aussi une passion pour les animaux, et surtout j’ai toujours aimé les reptiles.  J’ai beaucoup d’animaux domestiques, même un gecko qui a seize ans! Je passe beaucoup de temps à m’occuper de mes animaux. Ils en valent bien la peine.

Japanese WoodBlock Prints-Hindi

By Rishav Dasgupta

Uki-ए Fukagawa Eitai suzumi Toyoharu द्वारा कोई जेड Utagawa स्कूल के इतिहास में सबसे महत्वपूर्ण लकड़ी के ठप्पे प्रिंट में से एक है। सब के बाद, स्कूल के संस्थापक इसे बनाया।

पहली नज़र में, वहाँ थोड़ा पहले Ukiyo ए और बाद से टुकड़े के बीच अलग होने के लिए लग सकता है। हालांकि, वहाँ मतभेद इतना महत्वपूर्ण है कि वे बदल कि कैसे कला जापान में किया गया था। जापानी इतिहास से ज्यादातर के लिए, चित्रों और तस्वीरें प्रतीत होता है फ्लैट और अस्वाभाविक आयामी थे। जैसा कि पहले चर्चा के दौरान Ukiyo ए आंदोलन एक राष्ट्रीय लॉकडाउन या साकोकु तहत किया गया था, जापान (Sumidagawa और साकोकु देखें)। हालांकि कोई भी आते हैं या छोड़ सकता है, डच अभी भी जापानी के साथ माल व्यापार करने के लिए अनुमति दी गई। इसलिए, किसी भी प्रभाव है कि जापान के लिए आया था डच से आया है। समय के डच कला की जांच की जा रहे थे, तो एक परिप्रेक्ष्य के एक बहुतायत का निरीक्षण करेंगे। मतलब यह कि इस तरह के एक अवधारणा अनिवार्य रूप से जापानी कला में पर्ची होता है, और यह किया है। (प्रिंट पर बारीकी से देखो, यह एक एम्सटर्डम में नहर की तरह नहीं दिखता है?)

Toyoharu जापान में पहले से एक इस बैटन लेने के लिए किया गया था और 1770 के दशक में परिप्रेक्ष्य के साथ टुकड़े का निर्माण शुरू कर दिया। Uki-ए Fukagawa Eitai suzumi कोई जेड शायद इस लाइन में पहले की गई थी। इस उपन्यास शैली जहां एक केन्द्र बिन्दु और लाइनों वहाँ था यह करने के लिए अग्रणी एक मारा गया था। शैली Utagawa स्कूल के साथ खुद को दूसरे से जुड़ी है और जैसे Hiroshige यह नकल बाद में कलाकारों के साथ एक अमिट छाप छोड़ दिया है।

Rishav Dasgupta

The Cuban Revolution

By Chase Taylor

Este año, había una gran revolución en Cuba, pero no de la manera tradicional. Los Cubanos y los Estados Unidos empezaron a normalizar entre los dos países. Por mas de 60 años, Cuba ha sido una isla aislado de los Estados Unidos y sin los beneficios de tener contacto con el mundo occidental.

Por la primera parte del régimen de los Castros en Cuba, la isla recibió provisiones de la Union Sovietica, y no necesitaba mucho de los Estados Unidos. Pero, en los años de 1990, cuando la Union Sovietica cayó, los Cubanos necesitaban ayuda de los Estados Unidos más que nunca. Los Estados Unidos ahora esta en negociaciones con el pais socialista para eliminar el embargo contra Cuba de los Estados Unidos.

Los efectos de las negociaciones ya se pueden ver en las calles de Cuba. Hay muchos Americanos que pueden ahora visitar la isla por una visa. La banda Los Rolling Stones visito la isla y 1.2 millones de personas vinieron para mirar los. La cultura de los Estados Unidos se puede ver en todas partes de la isla, como a un concierto de Rolling Stones, o en la Habana Vieja, donde personas portan ropa de Nike o Adidas. Es cierto que cuando el gobierno de los Estados Unidos quita el embargo contra Cuba, los dos países van a beneficiar.

Costa Rica

Flag_of_Costa_Rica_(state).svgCosta Rica: un pequeño país con mucha diversidad

By Thomas Braun

This winter break, I visited the wonderful country of Costa Rica. I decided to write an article on the country highlighting its history and fun things to do when visiting.

El país de Costa Rica ganó independencia de Guatemala el 15 de Septiembre de 1821. Es un pequeño país de 51,000 kilómetros cuadrados en América Central. Es más pequeño que el estado de West Virginia, pero representa el 6 por ciento de la biodiversidad en el mundo y muchos animales viven únicamente en Costa Rica. Está vacación de invierno tuve la oportunidad de visitar este país magnifico por ocho días.

 

Costa Rica tiene una gran cantidad de bosques. De hecho 51 por ciento del país está adentro de los bosques. Uno de los bosques más famoso de Costa Rica se llama el Bosque de Nubes. Es un bosque tan alto que es adentro de los nubes. En los bosques de Costa Rica llueve mucho y es muy húmedo. Por eso, la vegetación es muy exuberante y grande. Yo fui a un bosque cerca del Río Pacuare, allí yo hice rappel en las caídas de agua y tirolina muy alto entre los árboles. El hotel fue muy especial porque no había electricidad en los cuartos y era sólo accesible por balsa. Me gustó mucho estar en los bosques pero llovió mucho y todas mis cosas se mojaron. Tuve que cambiarme muchas veces cada día porque mis cosas no estaban secas.

También en Costa Rica hay más de sesenta volcanes, seis de los cuales son activos. Yo pude visitar uno de los mas famosos que se llama el Volcán Arenal. Es un volcán activo que estalló en 1968. La erupción destruyó hasta la base del volcán y hubo muchos muertos. Después los habitantes que sobre vieron construyeron un pueblo un poco más lejos de la base del volcán que se llama La Fortuna. La geografía de Arenal es muy especial y diferente de lo normal debido a las camas de la lava subterráneo.

 

A unos cientos kilómetros del bosque de lluvia está Guanacaste, un contraste a los bosques. Guanacaste es muy caliente, seco y ventoso. La temperatura mediana en enero es casi 100 grados. Está al lado del océano pacífico y hay muchas cosas para hacer, como esnorquel, buceo, kayak y pesca.

 

Costa Rica es un país muy pequeño pero tiene muchos diferentes entornos. También los ciudadanos de Costa Rica están muy enfocados en mantener y conservar eso. Un hecho interesante acerca de Costa Rica es que cada día del año la puesta del sol es a las 5:30 PM y se levanta a las 5:30 am. Mi experiencia en Costa Rica fue muy inolvidable y me divertí mucho.

 

Latin From the POV of an Exchange Student

A Day and a half at the Latin School, by Edgar Brossollet

Ce qui est impressionnant aux Etats-Unis, c’est la taille des choses, des immeubles, des plats et cela l’est plus particulièrement à la Latin School ; la première fois que nous sommes rentré dans les immenses « facilities » de cet établissement (lundi), nous étions surpris par les dimensions des salles de sciences, des gymnases et des halls. Nous l’étions d’autant plus qu’en France nous avons généralement cours par groupe de 30 contrairement à certains cours ici où il y en moyenne une dizaine d’élèves. Lorsque j’ai raconté ça à un des professeurs il m’a dit « Haha (rire long) ! You should be joking ».

Certains cours peuvent être choisi contrairement à la France où nos sujets d’études et matières sont à 90% imposé (on peut choisir des options comme informatique,  chinois, espagnol, théâtre ou cinéma). On est tout de suite saisi par la vivacité des élèves : le professeur ne leur déverse plus son savoir, mais entre dans une véritable une conversation avec ses élèves qui participent et anime un débat. J’ai pu le constater moi-même dans la classe de Mme Hennessy (sur le logement dans les années 1950 aux Etats-Unis et sur le « White flight ») ou bien celle de M. Fript (sur l’influence croissante du panislamisme et le déclin du pan-arabisme).

 

Quant à la cafétéria, c’est un endroit fabuleux où nous, « french exchange students » rêverions de passer notre vie ; on y trouve de tout ; Rungis n’a qu’à bien se tenir : des Sushis, de la pizza, des Sandwiches préparés sur place ; mais surtout au lieu de la traditionnelle mayonnaise que nous avons à notre cantine, il y à la une véritable épicerie : du tabasco, du chili, de la sauce soja, …

 

Nous avons vu les impressionnants complexes sportifs et y avons même joué au basket puis au foot, on comprend vite pourquoi nous sommes battus. L’orchestre est incroyable, nous n’avions pas tous eu l’occasion de voir le concert à Paris mais nous avons tous été bouleversé par la maîtrise parfaite de l’orchestre de la Latin school, digne d’un orchestre symphonique. L’orchestre a joué Capitain America march, Aztec Fire mais surtout « la Marseillaise ».

 

Les élèves sont tous très sympas et il y a une excellente ambiance, un vrai esprit d’équipe et on ne ressent pas le côté « chacun pour soi qu’il peut parfois y avoir dans certaines écoles en France ». C’est aussi un endroit où on rencontre des élèves de tous horizons, tous avec des parcours différents et des histoires à raconter.

 

Mercredi nous avons vu, grâce à Mme Dorer, un match des Chicago Bulls contre les Philadelphia 76ers. Le jeu était tendu mais les Bulls ont gagné. L’ambiance est unique !  On parachute des t-Shirts, on les lance même avec des canons qui relèvent de l’artillerie, on gagne des voitures, on hurle le plus fort possible : c’est un véritable show où se révèle la nature humaine de l’homme (des gens vont jusqu’à se battre pour attraper le maillot des bulls). Le prix de la nourriture et des boissons y est multiplié par 3, ce qui n’est jamais pire qu’un match de baseball où une bouteille d’eau peut valoir jusqu’à 6 $.

Letter From The Editors

Hola, Bonjour, Guten Tag, 你好, Shalom, Worldly Romans,

 

We are very excited to launch the Worldly Roman, Latin’s very own foreign language blog. We have a whole new set of editors: Ned Bless, Talia Krainc, and Chase Taylor, as well as our Co-Editors in Chief, Thomas Braun and Rishav Dasgupta. We are looking for new writers and editors for next year.  You can write about anything that interests you – politics, things around Latin, travel, your favorite recipe, movie reviews – just as long as it is in a foreign language! If you are interested, reach out to any of our members.

In this edition, you will hear more about the band trip to Paris, a behind the scenes interview with Latin teacher Mr. Friedman, the French perspective on the Latin School/L’École Alasacienne exchange program, highlights of Costa Rica and much, much more.

Happy Reading!

 

Thomas Braun and Rishav Dasgupta